Analyse grammatisquale de devises des 3 Kodex du squale

Histoire de mettre en pratique toutes les notions d’analyse de phrase, que ce soient les sortes de mots et leurs groupes, les fonctions grammatisquales, ou les types de phrases, nous allons plonger ensemble au cœur du kyurensisme et décortiquer les devises de ce bon vieux Kyurensi. Bienvenue dans le Kodex de la langue française.

Tel-Même-Toute n’est pas quelque pharaon

Dans la langue française, certains mots peuvent exister dans plusieurs classes, ce qui change leurs accords et parfois même leur sens. C’est le cas de «tel», «même» et «tout», leur usage demande réflexion. Alors regardons dans le miroir et plongeons dans le subconscient humain grâce au Kodex de la langue française.

Le grimoirequin des fonctions grammatisquales

En français, les groupes de mots ont une fonction dans la phrase, ils ne sont pas là pour rien. Ainsi donc, comme si ce n’était pas assez de déterminer les groupes et les propositions dans la phrase, il faut aussi analyser leur fonction. Si tu aimes le français, tape-toi sur la joue droite et sur la joue gauche avant de te lancer corps et âme dans le Kodex de la langue française.

Les crisses de pauvres subordonnés enchâssés

En français, il existe une certaine ségrégation entre les races de phrases. Là où ça cause des frictions, c’est entre les subordonnées enchâssées et leur principale enchâssante. Tenons-nous les mains solidairement en gambadant dans la discrimination grammaticale du Kodex de la langue française.

Proposition de phrases et jeu de rôle pour les idées

Toute notre langue, comme toutes nos pensées, est constituée de phrases et de propositions. C’est avec ça qu’on peut se façonner une pensée cohérente ou pas. Si on prend un pas de recul, on peut voir que tous ces processus sont comme un jeu de rôle. Laissez-moi sortir mon grimoire du maître du jeu et permettez-moi de vous proposer une partie d’Ultime voûte et chimère primordiale, un jeu aussi difficile que le français lui-même, dans le Kodex de la langue française.

D’abord, il y eut le mot. Il s’accordait bien. Ensuite vint le verbe. Lui s’accordait difficilement, comme une petite bitch.

Accorder les verbes, c’est comme construire une pyramide, ça prend des bases solides et quand ça tient debout, on ne se souvient plus trop comment on en est arrivé là tellement ça a été fastidieux. Les experts appellent ça l’amnésie dissociate, ou amnésie psychogène. C’est comme se faire rentrer dedans par un char, mais d’en avoir aucun souvenir. Alors, tous ensembles, oublions notre passé et tous les autres temps de verbe pour sombrer dans le Kodex de la langue française.

Pète pis Répète partent en bateau (répétition ou omission)

Le français est une langue qui offre maintes règles, indications et utilisations quand il est temps d’être répétitif, redondant et lassant. Embrassez et serrez fort vos proches avant de leur dire Akyurensi parce que personne ne revient indemne, heureux ou même sain d’esprit des profondeurs du Kodex de la langue française.

Les osties de verbes pronominaux

Voici un exemple de verbe pronominal: «Et du coin de l’œil, je peux voir Kyurensi qui se masturbe allègrement.» Le pronom «qui», dont Kyurensi est l’antécédent, est le sujet du verbe «se masturbe», mais il est aussi le complément direct. Kyurensi masturbe qui ? Lui-même, désigné par le pronom personnel «se».